Lieu-de-travail : On y va comment ?

Transports : on va travailler… en vélo ?

Avant le Coronavirus, les chiffres concernant les transports utilisés pour se rendre au boulot sont clairs. La voiture obtient la pôle position, dans un monde ou 14,2% des travailleurs doivent parcourir plus de 25 km pour se rendre au travail. Même si le covoiturage tend à se développer, le slogan « gardez vos distances » tant utilisé ces dernières semaines, ne jouera pas en sa faveur, c’est certain ! En tous cas, pas tout de suite !

Bref, avant cette crise sanitaire majeure, 70% de la population active se déplace en voiture. Moyen de transport qui domine sans conteste les autres ! Cependant, l’efficacité des transports en commun des grandes villes variant en fonction de leur taille (différente d’une agglomération à l’autre), inverse parfois la tendance (ex.: à Paris, 68,6% des travailleurs utilisent les transports en commun contre 10% qui sont en voiture) !! A Lyon, 40,7 % des actifs choisissent les transports en commun contre 34,9 % choisissant la voiture. Nice permet à 26,6% des travailleurs d’utiliser les transports en commun contre 46,8% optant pour la voiture. Enfin prenons l’exemple de Nantes, 29% seulement utilisent les transports en commun contre 50% des actifs qui choisissent la voiture.

Et les entreprises dans tout ça ?

Les entreprises tentent de plus en plus de s’adapter aux contraintes (circulation, transports en commun, facilité de déplacements, etc.) et proposent à leurs salariés des alternatives qui peuvent être très créatives : flexibilité au niveau de l’heure d’arrivée et de départ (ex : arrivée possible entre 8h30 et 9h30), incitation au covoiturage, mise en place de navettes, télétravail possible les jours de grève des transports, aide au financement et maintenance d’un vélo, incitation à utiliser des véhicules électriques (mise en place de bornes de recharge au sein de l’entreprise). En bref, le constat reste sans ambiguïté sur le plan national, seulement 16% choisissent les transports en commun, 7% optent pour la marche à pied, 4% sont en 2 roues et 3% pratiquent une activité ne nécessitant pas de déplacement (Home Office).

La question qui est dans tous les esprits aujourd’hui n’attend qu’un peu de temps pour avoir ses réponses : la crise « Covid-19 » va -t-elle faire évoluer ces tendances, faire renaître le goût du vélo, développer la culture du télétravail dans les organisations, covoiturer plus facilement… En bref, réponse dans quelques mois…

Juliàn, 15/06/2020 – Source Insee

 

p’tite-phrase du jour…

Recruter : boucler, closer, terminer… quel que soit le terme employé… c’est la clé du recrutement…

Certains recrutements peuvent s’annoncer simples et se compliquer avec le temps et d’autres c’est l’inverse. Les recruteurs, quels qu’ils soient (IT, Industrie, Bâtiment, Startups, généralistes) sont tout d’abord confrontés à la pénurie de candidats, qui peut d’emblée représenter une première difficulté. Ensuite, recruter est un métier avant tout humain qui possède son lot d’aléas comme tous les métiers…

Recruter se présente donc très rapidement comme un métier qui nécessite de la ténacité, de la hauteur de vue et de l’endurance. A tous les RH en entreprise ou recruteurs parfois confrontés à des recrutements qui n’en finissent plus, sachez que le meilleur moyen de se libérer d’un recrutement est de recruter. Pour cela, le temps, les bonnes techniques et la connaissance du métier vous amèneront au résultat… N’importe quel recruteur peut se sentir enfermé (au moins une fois dans sa carrière) dans une problématique qui lui semble ne jamais se terminer… Pour éviter de revivre le scénario d’ « Un jour sans fin », il faut donc bien garder à l’esprit qu’il existe toujours un levier pour atteindre son résultat… A chacun de le trouver… Car il est certain (petit clin d’œil à notre ami Oscar) que le meilleur moyen de se libérer d’un recrutement est de recruter ! ;-)

 

Les Colettes, 15/06/2020

Bureau vs Télétravail

Bureau et télétravail : quelle serait votre organisation idéale ?

En ce lendemain de déconfinement, le télétravail est au cœur de toutes les discussions ! Est-ce que cette expérience a réellement fait évoluer les envies ? Est-ce la fin du travail au bureau pour certaines fonctions ? Afin de répondre au mieux à cette question concernant bureau et télétravail, le mieux est encore de demander les avis !

74% des personnes interrogées aimeraient idéalement pouvoir mixer vie de bureau et télétravail ! La répartition est assez équilibrée entre ceux qui voudraient mixer en privilégiant un peu plus le télétravail ou l’inverse !!

Ce que nous apprennent également ces chiffres, c’est que 20% des personnes interrogées aimeraient travailler exclusivement en télétravail contre 7% exclusivement au bureau.

En deux mots : ce qui ressort de ce sondage est une tendance à l’équilibre vers un mixe entre travail à la maison et bureau. Le bureau reste donc un repère professionnel stimulant, plaisant pour certains, rassurant pour d’autres. Quant au télétravail, il permet de travailler autrement et dans de nouvelles conditions. Le modèle incluant la possibilité de s’organiser au bureau et à la maison reste le compromis dont les gens ont le plus envie. Alors ne jetez pas votre mug « la meilleure collègue » et n’annulez pas vos dates d’afterwork… Le bureau garde la cote… Cependant, il faudra peut-être songer à faire une petite place au Home-Office dans les plannings !  

Les Colettes, 20/05/2020

La-petite-minute… inattendue

Beaucoup de merveilleux recrutements se font dans l’inattendu…

Il est vrai que lorsqu’un chasseur laisse l’inattendu mettre son grain de sel dans les recrutements, il s’offre la possibilité de s’exposer aux bonnes surprises. En effet, elles sont souvent inattendues, parfois inespérées, mais elles sont cependant toujours les bienvenues. Il peut, en effet, y avoir dans un process de  recrutement de belles rencontres, des coups de cœur (côté candidats et côté entreprises). Le challenge est de ne pas passer à côté…

En effet, même si le projet de l’entreprise (le poste) n’est pas tout à fait celui souhaité par le candidat, que le profil du candidat est un peu en décalage avec les attentes de l’entreprise, l’inattendu peut se produire ! Et lorsque la rencontre est concluante, l’entreprise n’a aucun doute, le ou la candidat(e) non plus. Ils réaffûtent chacun leurs projets et leurs attentes. En deux mots, ils « se veulent ». Bref, comme on dit dans le métier, c’est l’outsider qui remporte la décision… Et cet inattendu arrive plus d’une fois dans une vie de recruteur. 

Pour le petit mot de la fin, laissez donc la magie parfois faire le travail ! En effet, de merveilleux recrutements se font dans l’inattendu… Et merci à Jean pour l’inspiration… 

Elise, 11/05/2020

la-petite-minute… sans aucun doute

« Quand on est un consultant apprécié, on ne doute de rien, quand on est un consultant qui apprécie, on doute de tout… »

 

Petite réflexion sur les rapports passionnants des chasseurs et consultants avec leurs candidats, leurs entreprises, leurs confrères et consœurs… Cette règle retranscrit effectivement très bien l’état d’esprit dans lequel on se trouve lorsque l’on recrute. Le doute faisant partie intégrante de la formation, de la progression et du quotidien des consultants et chasseurs,. Celui-cil nous fait avancer, nous oblige à la remise en question et fait souvent la différence (positive) quant au résultat. Au-delà du fait qu’un chasseur se doit d’être incollable sur les métiers (IT, industrie, bâtiment, servies, institutions, etc.), les jargons, les techniques, il n’en est pas moins dans le doute sur son propre métier ! Trop d’assurance n’est pas forcément bon ! 

En effet, non seulement ce métier est très chronophage, il est surtout fait de surprises et d’imprévus à gérer en permanence. Le doute permet donc aux chasseurs et consultants de parfaire leur approche. Il leur permet aussi d’ajuster leurs actions, d’accompagner avec humilité et de toujours entrevoir de nouvelles alternatives pour garantir une démarche quali’. Il garantit toujours aux consultants de s’adapter au mieux aux demandes des uns et des autres, voire même de les anticiper !  Le doute oblige à l’écoute. Attention c’est un peu comme beaucoup de choses, il faut le consommer avec modération ! Je connais de nombreux chasseurs très talentueux qui n’en sont pas dépourvus ! Coïncidence ? En bref, le doute vient-il de l’amour du métier ?

Quand on apprécie et que l’on aime ce que l’on fait, on doute effectivement de tout ! Cela dit, de nombreux consultants sont appréciés, ne savent souvent pas « oh combien », et doutent tout de même ! Cet article est un petit clin d’œil à un consultant qui me l’a souvent répété. 

 

Elise, 06/05/2020

Devenir un(e) Colette

Changer de voie : [VIDEO] Parce qu’avant de changer de voie ou de trouver ce qui nous convient, il faut en effet être convaincu(e)… Vous avez envie de vous laisser tenter par l’aventure de travailler en toute liberté…

Vidéo à regarder… en boucle…